Libre comme le jour

Seul, une jument noire galopé, filant aussi vite que le vent a travers cette vallée fleurie.
Cette jument n'était autre que Rital Empire, trés furieuse comme a sont habitude, les oreilles couché sur sa nuque est pas dessidé a épargné quelqu'un.
Rital s'arreta, elle gratta le sol devant elle, et sens savoir pourqu'oi Rital ce leva de toute sa hauteur et lanca un hennisement de défis a qui quonque passeré part la.
Elle ronffla les naseaux mit sa queue en panache, et fit demi-tour, face a un cheval qui arrivé au loin.

Mais le jour n'est-il pas lui même condamné ? Certes, de façon éphemère, mais il est semblable à la nuit. La nuit et le jour se succèdent et sont condamné à se laisser la place mutuellement. Reeker était semblable à la nuit où les lueurs vacillent, où les ombres se déchirent, où les bruissement des feuilles sont parfois bien autre chose. Ses sabots martelaient le sol et les fleurs qui y poussaient fragilement. Ses yeux vifs s'ancrèrent dans la silhouette équine qui se découpait non loin de lui.

Elle l'apercut enfin, le cheval qui avait ossé venir a elle, sourire sadique est les oreilles couchers elle l'attender au millieu de la vallée.
Rital poussa un hennisement, doux et délicat mais remplit de haine avec une point de sadisme.
Elle avanca de quelque pas vers le cheval, dent en avant, elle marché a travers la haute herbe, d'un pas actif elle allé vers le cheval.
Rital s'arreta, encore loin de lui, juste maniére de le voir.
Elle le fixa nerveusement, et gratta sauvagement le sol devant elle.

+Les étoiles sont à l'agonie. Le soleil est un éternel damné. La lune n'est qu'une voleuse sans éclat. Derrière la barrière de nuage, tous le monde veut nous cramer. Reeker renacla bruyament en évaluant la distance qui le séparait de l'inconnue. Le vent lui amena le doux son d'un hennissement qui justement ne semblait pas doux. Ses crins emmelés tourbillonaient dans la brise. C'était une belle journée balayé par les vents. Le démon hésita un instant puis s'avanca vers l'inconnue avec une démarche presque boiteuse. Il se stoppa à quelques mètres d'elle enùl'évaluant du regard.

Rital avenca, face au cheval devant elle, oreille couché sur sa nuque les dent dehors, elle le fixa sens un mot.
Sont sourire sadique au lévre, les dents prette a mordre a chair fraiche.
Rital ronffla les naseaux, et gratta le sol devant elle nerveuse.
Elle, ce retrouva au millieux de la vallée face a un étalon, inconnut et plustôt menacent, n'importe quel cheval aurait peur.
Mais Rital, elle n'avait peur de rien n'y de personne.

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