x Infini ( PV generation )

( Niark

Requiem déteste les autres étalons =P )

Le soleil était absent cette journée là. Une légère brise venait
rafraichir les habitant de la vallée presque vide. L'étalon blanc marchait
d'un pas allègre vers je ne sais où. Le vent joua lentement avec ses crins et
retomba, le laissant seul une fois de plus. Mais il n'était pas triste. Loin de là.
Il ne regardait pas où il allait, il se contentait de rester debout & de marcher.
La vallée semblait si immense qu'il n'en voyait pas le bout. Infinie.
Requiem, après quelques minutes de perdition dans ses pensées, releva
lentement la tête & observa ce qu'il trouvait autour de lui. Il huma l'air
chaud & lourd, air qui annonçait un orage proche. Il ne sentit rien. Si, une
odeur équine. mais elle était encore bien loin de lui. Il ne s'en soucia pas, mais
observa ce qu'il avait trouvé : un puit. Un puit, seul au milieu d'une végéta-
tion débordante. peut-e^tre trouvait-on des ruines sous ces plantes ? Requiem
ne s'en souciait guère, il s'avança jusqu'au puit abandonné. Mais l'odeur
inconnue de tout à l'heure s'approchait ...

Live life given now
Tomorrow can wait
Dance all through the night
Sleeping all day

Requiem entendit un bruit. Un seul. Ses oreilles se plaquèrent subitement
contre sa nuque, il ronfla & se retourna. Là-bas, un autre étalon. Il le provoquait.
On verra bien qui rira le dernier. L'étalon blanc fit un pas vers lui, pusi deux
& enfin s'arrêta, fusillant l'inconnu du regard. Il émit un hennissement
rauque & viril, ayant but d'intimider l'étalon, lui aussi. Que voulait-il ?
Malgré sa haine envers les autres, requiem avait en étrange sensation de joie.
Enfin il allait pouvoir assouvir sa soif de vengeance. L'adrénaline montait en
lui avec la vitesse de son sang, rythmé par les battements de son coeur bien
trop souvent lacéré. Il n'attendait que ça. Se battre.

<< Crois-tu me faire peur ... >>

Requiem ne se laissa pas déstabilisé par les remarques narquoises du palomino.
Il savait bien que ce n'était pas un ronflement rauque qui l'intimiderait.
Il resta immobile, affichant lui aussi un rictus malsain & machiavélique.
Sa queue se balançait lentement de droite à gauche. Ses yeux restaient
toujours fixés sur l'autre étalon. Celui-ci avait parlé. Des paroles prononcées
sur un tonnarquois. Le sourire sadique du blanc s'élargit alors.

« Non, bien sur que non voyons ...

Il resta planté où il était, les oreilles toujours plaquées sauvagement contre
sa nuque. Il attendait un évutuel pas de trop du palomino pour attaquer.

( Upinou )

» Generation _ Pic'pic' *